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Chez Pol
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Le parti d’extrême droite communique peu sur la chute du régime syrien, dans la nuit de samedi 7 à dimanche 8 décembre. Une bonne partie de ses élus a, dans le passé, exprimé de la sympathie pour le dictateur voire l’a rencontré.
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Internet n’oublie rien. La politique non plus. La chute de Bachar al-Assad aura ainsi permis aux opposants de Jean-Luc Mélenchon de se payer à peu de frais le leader insoumis en lui rappelant ses positions passées envers le boucher de Damas. Sur X, Mélenchon se réjouit «à 100 % de la chute du régime d’al-Assad en Syrie» tout en se méfiant «à 100 % des nouveaux maîtres du pays». Pas de quoi faire oublier les idées du boss de LFI qui, encore en 2019, souhaitait que la France «aide» l’armée syrienne «contre l’invasion de l’armée d’Erdogan et de leur supplétif jihadiste». Ou qui, en 2016, soutenait l’action de Vladimir Poutine contre les rebelles.
Mélenchon a donc changé de point de vue. On ne peut pas en dire autant de Le Pen, dont on ignore encore la position concernant la chute d’Assad. Aucun message, ni communiqué, ni tweet… La cheffe des députés RN n’avait-elle pas de réseau ce week-end ? On sait qu’elle a longtemps défendu le régime syrien et son aide de camp russe. En 2017,
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