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Eclairage
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Le renversement du dictateur syrien replace au cœur de l’attention ce territoire rocheux, occupé par Israël depuis 1967. Dimanche 8 décembre, Benyamin Nétanyahou a ordonné à ses troupes de prendre le contrôle d’une zone tampon située entre le plateau du Golan et la Syrie.
C’est de là que Benyamin Nétanyahou a pris la parole, dimanche 8 décembre, pour célébrer un «jour historique dans l’histoire du Moyen-Orient» après la chute du dictateur syrien, Bachar al-Assad. C’est de là aussi qu’est originaire le nouvel homme fort de Damas, Abou Mohammed al-Joulani, le chef islamiste de la coalition rebelle Hayat Tahrir al-Sham (HTS). Situé dans le sud-ouest de la Syrie, à la frontière orientale d’Israël qui en occupe une partie depuis 1967, le plateau du Golan est un territoire stratégique au Moyen-Orient, dans lequel Israël a mobilisé ces dernières heures des troupes supplémentaires, par mesure de «sécurité». Explications.
Quel est le statut du plateau du Golan ?
Au regard du droit international, c’est un territoire syrien. Mais l’armée israélienne en a conquis une
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