Lors d’un congrès virtuel extraordinaire le 11 décembre, les 211 fédérations membres de la FIFA ont désigné l’Arabie saoudite comme pays hôte de la Coupe du monde 2034, par acclamation et à l’unanimité.
Le trio Espagne-Portugal-Maroc a obtenu l’organisation de l’édition 2030, avec trois matchs organisés en Argentine, au Paraguay et en Uruguay pour célébrer le centenaire de la compétition.
L’Arabie saoudite était la seule candidate pour 2034, tandis que l’Espagne-Portugal-Maroc était la seule pour 2030. Les critiques ont pointé du doigt le processus opaque d’attribution, qui a découragé d’autres prétendants comme l’Australie.
L’attribution des deux Coupes du monde lors du même congrès a suscité des critiques, mais la FIFA a demandé à ses membres s’ils acceptaient le mode de scrutin par acclamation avant le vote.
Risque “moyen” pour les droits humains
Franck Castillo, secrétaire général français de la Confédération océanienne, a déclaré qu’il regrettait le manque de candidatures, mais a souligné que la nouvelle formule à 48 équipes nécessitait une logistique et des moyens financiers importants.
Il a également défendu le mode de scrutin, arguant qu’il n’était pas nécessaire d’organiser deux congrès distincts.
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