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Chez Pol
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Sollicité par Manuel Bompard pour savoir si le ministère était «prêt» à organiser une hypothétique élection présidentielle anticipée, le cabinet de Bruno Retailleau estime qu’il «n’y a pas de sujet».
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Si une démission d’Emmanuel Macron est improbable – il a assuré qu’il resterait en poste jusqu’au bout mais on sait ce que valent ses promesses – et sa destitution encore plus, ces hypothèses ne sont pas totalement à écarter. Car ce qui improbable n’est pas impossible. C’est pourquoi Manuel Bompard avait écrit à Bruno Retailleau pour lui demander si le ministère de l’Intérieur, chargé d’organiser les élections, était «prêt» en cas de présidentielle anticipée. C’était le 29 novembre.
Depuis, c’est silence radio de la Place Beauvau sur le sujet. Et pour cause. Selon nos informations, l’Intérieur n’a pas prévu de répondre à la missive du coordinateur de LFI «parce qu’il n’y a pas de sujet», évacue-t-on au cabinet du ministre démissionnaire. «Ce n’est pas sérieux. Le ministère de l’Intérieur doit préparer tous les cas de figure», peste en retour auprès de Chez Pol le député LFI de Marseille.
Les troupes insoumises, qui ont enclenché une procédure de destitution du chef de l’Etat, font activement c
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