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Récap
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Dans la jungle des plateformes guidées par le tout-algorithmique et encore secouées par la grève hollywoodienne de 2023, «Libé» a sélectionné ses dix œuvres préférées, entre suites inspirées et belles surprises.
Promis, ça ira mieux demain. Dans une adresse à ses actionnaires, mi-octobre, le patron de Netflix, Ted Sarandos, jurait que 2025 aurait plus d’allure que l’année en passe de s’achever, «plus inégale, plus dégarnie que d’habitude». Une conséquence de la grève des acteurs et scénaristes de 2023 qui aurait, selon lui, bouleversé toute la chaîne de production, obligeant à mieux répartir les diffusions pour éviter les périodes de creux. 2024, année de la gueule de bois ?
Tout est relatif. Après une phase de restructurations et de licenciements massifs, les grandes plateformes ont vu leurs revenus repartir en flèche. A l’automne, Forbes notait que les profits cumulés de Netflix, Disney, Paramount et Warner Bros Discovery atteignaient 3,3 milliards de dollars (3,1 milliards d’euros) au premier semestre, contre un déficit de 683 millions un an plus tôt. Si aucun chiffre n’atteste pour le moment d’un déclin du nombre de séries produites en 2024, il semble clair en revanch
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