
Le 6 décembre, deux juges d’instruction ont rendu une ordonnance de non-lieu pour François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine (UPR), dans le cadre des enquêtes le visant depuis 2020.
Les magistrats ont rejeté les sept chefs de mise en examen retenus contre lui, notamment des accusations d’agressions sexuelles et de harcèlement.
François Asselineau a réaffirmé sa sérénité et attend que la chambre de l’instruction confirme l’abandon des charges.
Le parquet avait requis le 14 décembre 2023 que M. Asselineau soit jugé pour tentatives d’agression sexuelle aggravée, harcèlement moral au travail et actes d’intimidation.
François Asselineau dénonçait des « calomnies »
Une enquête préliminaire avait été ouverte en mai 2020 suite à une plainte pour harcèlement et baisers imposés déposée par un collaborateur de l’UPR.
Lors de sa garde à vue en février 2021, François Asselineau avait contesté les accusations, les qualifiant de « calomnies ». Il avait été mis en examen pour harcèlement moral, harcèlement sexuel, agressions sexuelles et intimidation.
L’entourage de François Asselineau avait dénoncé une procédure judiciaire initiée par d’anciens employés de l’UPR dans le cadre d’une tentative de prise de contrôle du mouvement.
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