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Proche-Orient
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Dans le sillage de l’attaque du 7 Octobre, le conflit entre Israël et le Hamas s’est transformé en guerre régionale contre les proxys de l’Iran. Et a rebattu les cartes de cette zone inflammable.
Dissolution, Jeux olympiques, chute de Bachar al-Assad, morts de l’année… Retrouvez tous les articles de la rétro 2024 en cliquant sur ce lien.
Mardi 2 janvier 2024, dans la soirée, une forte explosion retentit dans Beyrouth. Pour la première fois depuis le 7 Octobre, une frappe ciblée de l’armée israélienne touche la capitale libanaise et tue Saleh al-Arouri, le numéro 2 de la branche politique du Hamas. Les habitants sont sous le choc. Ce qui est alors présenté par Tsahal comme une opération inédite, dans un conflit encore limité à Gaza et à des échanges de tirs avec le Hezbollah à la frontière libanaise, annonce en fait une année d’escalade. La guerre, déclenchée par le Hamas après son attaque meurtrière dans le sud d’Israël, s’est muée en un véritable conflit régional entre l’Etat hébreu et les proxys de l’Iran (comme on appelle ces groupes armés soutenus par la république islamique), réunis sous la bannière de l’«axe de la résistance».
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Et dans cette guerre entre Tel-Aviv et Téhéran, douze mois plus tard, l’avantage est israélien. Aujourd’hui, le cabinet de guerre de Benyamin Nétanyahou peut se targuer d’avoir décapité le Hamas et le Hezbollah, éliminant ses principales têtes pensa
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