Vous sentez cette odeur de culpabilité dans l’air ?
À l’approche des fêtes, les médias nous bombardent de listes interminables de films, séries, albums, podcasts et livres à ne pas manquer. Une sorte de course à la boulimie culturelle.
Autrefois, nos vies culturelles étaient plus frugales. Les samedis soirs étaient rythmés par la grille TV de Télérama : Buffy, Charmed, Alias… À condition que les parents acceptent les vampires hurlants dans le salon.
Netflix n’était alors qu’un service postal de DVD aux États-Unis, l’équivalent de notre Vidéo Futur. Avant les plateformes de streaming, le choix était limité, mais l’idée de “charge mentale culturelle” n’existait pas encore.
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