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Elle avait pourtant tranché. Il y a huit jours, la secrétaire nationale des Ecologistes, Marine Tondelier, admettait sur RTL que la perspective de quitter X (ex-Twitter) était «un débat qu’on a tous les jours à la direction de [son parti]» mais se montrait catégorique : «On doit tous quitter Twitter.» L’élue d’opposition à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) exhortait alors l’ensemble des députés du Nouveau Front populaire à lui emboîter le pas, considérant qu’il est important de «protéger notre démocratie et l’information sur notre territoire».
En une semaine, elle a changé d’avis… Malgré les appels à déserter X, qui se sont multipliés à l’approche de l’investiture de Donald Trump, la cheffe des écolos annonce qu’elle ne quittera finalement pas le réseau aux 600 millions d’utilisateurs actifs. Dénonçant la vague de haine subie depuis qu’elle s’est prononcée en faveur de l’interdiction de la plateforme, elle annonce prendre acte «du fait qu’une très large majorité de parlementaires a décidé de rester sur Twitter /X».
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