Réseaux sociaux : quitter X, l’opportunité d’un «dry»

Comme quoi l’individu 3.0. est sacrément résistant (ou affligeant ?) : il aura fallu que la dystopie devienne réalité, que le troll Trump soit réélu grâce au soutien et au financement d’Elon Musk, patron de X, pour que débute un véritable exode : «bye-bye, direction le réseau social Bluesky», est le mot d’ordre. Le salut nazi effectué lors de l’investiture du 47e président américain par l’homme le plus riche du monde accélère le mouvement : alimenter la plateforme de l’entrepreneur sud-africain toujours plus atterrant n’est décemment plus tenable. Et dans la foulée, une idée fait son chemin : quid des plateformes du groupe Meta ?

Mark Zuckerberg faisait aussi partie de

Libération