:quality(70):focal(3208x2977:3218x2987)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/PPRKP7XHVJD2VI3ICQGOF6MIIY.jpg)
Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés : découvrez-la gratuitement.
Nul n’est censé…
Aussi surprenant que cela puisse paraître pour l’homme le mieux informé de France et vu son positionnement politique, Bruno Retailleau ne connaissait pas le collectif d’extrême droite Némésis, au moment de les féliciter pour leur «combat» et de s’en dire «très proche». C’est en tout cas ce qu’il prétend sur Europe 1 ce vendredi 24 janvier. «Elles m’ont posé la question sur leur combat qui est contre l’islamisme, contre l’antisémitisme [et la dissolution de l’organisation antifasciste la Jeune garde, à laquelle il s’est dit favorable, ndlr], et bien sûr je leur ai dit que je partageais ces combats, parce que c’est la vérité», explique d’abord le ministre de l’Intérieur. Avant de prendre ses distances avec la réalité de l’action de Némésis, à savoir la défense d’un «fé
Leave a Comment