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Comme 89 % des Provençaux interrogés à l’automne par l’Ifop, un sondage largement cité dans son discours, Renaud Muselier est heureux dans le Sud. Jeudi 23 janvier, le président (Renaissance) de Provence-Alpes-Côte d’Azur n’a pas lésiné sur les superlatifs pour vanter la beauté et la richesse du territoire, autant que l’efficacité du travail mené par ses équipes, exercice classique pour une cérémonie des vœux de début d’année où il a été largement question des futurs Jeux olympiques d’hiver de 2030, acquis aux Alpes. Alors pourquoi les journalistes s’évertuent-ils à lui poser des questions sur les municipales à Marseille, programmées dans plus d’un an ?
L’ex-LR, désormais Renaissance, feint de s’en lasser, lui qui depuis plusieurs mois répète que non, il n’est pas candidat, préférant mener son mandat de président de région jusqu’à son terme, en 2028. «Les municipales, ce n’est pas le moment», balaie-t-il encore ce jeudi. Encore moins de désigner celle ou celui qui portera localement les couleurs de la droite et du centre, désormais réconciliés,
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