Donald Trump a proposé de “nettoyer” la bande de Gaza et de demander à l’Égypte et à la Jordanie d'”accueillir” les réfugiés palestiniens. Pour l’instant, aucune réaction des ONG ou des Nations Unies n’a été notée.
Juridiquement, le terme exact est “transfert forcé”. La responsabilité de ces atrocités incombe non seulement à Israël, mais aussi à la communauté internationale qui les cautionne.
La déportation et le transfert forcé de population sont des crimes reconnus par la Cour pénale internationale (CPI).
Israël, la Jordanie et l’Égypte n’ont pas officiellement réagi aux propos du président américain.
Des groupes de défense des droits humains ont accusé Israël de nettoyage ethnique, défini comme une politique visant à chasser la population civile d’un autre groupe ethnique par des moyens violents.
- En 1948-1949, environ 700 000 Palestiniens ont été chassés de leurs foyers (Nakba).
- En 1967, 300 000 Palestiniens supplémentaires ont fui vers la Jordanie.
La crise des réfugiés est un obstacle majeur aux pourparlers de paix. Les Palestiniens revendiquent un droit au retour, tandis qu’Israël affirme qu’ils devraient être absorbés par les pays arabes environnants.
L’Égypte et la Jordanie ont rejeté l’idée d’accepter des réfugiés de Gaza, craignant que cela ne rende impossible la création d’un État palestinien.
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