Depuis quelque temps, une série de biopics musicaux inonde les salles de cinéma. Le très attendu Un parfait inconnu, de James Mangold, sort mercredi 29 janvier et nous présente Timothée Chalamet dans le rôle de Bob Dylan, se transformant du folk au rock en 1965.
Ce biopic sera précédé de la saga rasta Bob Marley. One Love, du portrait de Monsieur Aznavour, puis de Better Man, évoquant Robbie Williams sous les traits d’un chimpanzé. Suivra Maria, hommage sophistiqué à Maria Callas.

Ces biopics offrent une large gamme de styles, du mimétique au conceptuel. Ray, La Môme et Monsieur Aznavour sont des exemples de biopics mimétiques, tandis que I’m Not There, Last Days et Barbara sont des expériences minoritaires plus conceptuelles.
Entre ces deux pôles, des formules hybrides émergent, comme Un parfait inconnu, qui offre à la fois une performance spectaculaire et se concentre sur un moment clé de la carrière d’un artiste.
Alors que des projets sur Bruce Springsteen, Michael Jackson, Madonna et d’autres sont en préparation, il est intéressant de s’interroger sur la prolifération de ce sous-genre ces quinze dernières années.
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