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Sam Altman, le PDG de l’entreprise derrière ChatGPT, rétorque : «Hum… Non.» La question lui a été posée sur le ton de la plaisanterie par la ministre chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique, Clara Chappaz : «Est-ce qu’OpenAI est à vendre ?» Dans le hall plein à craquer du campus de start-up Station F, l’un des théâtres du sommet parisien dédié à l’IA, clos ce mardi 11 février, les rires fusent. La réponse de l’Américain ne surprend guère. Depuis qu’Elon Musk a proposé, la veille, de racheter la société californienne pour 97,4 milliards de dollars, le dirigeant a déjà répondu à l’homme le plus riche du monde sur son propre terrain de jeu, le réseau social X : «Non merci, mais nous allons acheter Twitter pour 9,74 milliards de dollars si tu veux.» Insultes immédiates de Musk : «escroc» et «arnaqueur».
Au milieu des stands du Grand Palais, autre lieu de festivité pour le raout sur l’IA, l’ombre du patron de Tesla, bras armé de Trump pour dépecer l’Etat fédéral américain, plane. Entre sa proposition de rachat d’OpenAI et l’interminable suspense qu’
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