Consommation : les enseignes de proximité font leur beurre

Consommation : les enseignes de proximité font leur beurre

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Ce n’est pas un scoop, depuis le choc inflationniste qui a suivi la crise sanitaire, la grande distribution tire la langue. Malgré un léger mieux en 2024, la situation reste fragile selon les observations de NielsenIQ dans sa dernière étude sur la consommation du quotidien. En volume, les ventes, en baisse de 0,3 %, restent à la peine. Et si les prix de l’alimentaire ont reflué de 4,6 % entre février et décembre 202,4, cette baisse est loin de compenser l’inflation accumulée depuis fin 2021 (plus 20 % de janvier 2022 à janvier 2024), selon les prix relevés par le cabinet. Mais tout n’est pas sombre dans les rayons. Tout comme, à l’opposé du spectre économique, les grands centres commerciaux, le commerce de proximité, en ville, tire son épingle du jeu.

«C’est un circuit de distribution qui revient en force», observe José Argüelles, directeur analytique distribution chez NielsenIQ. Pourtant réputées plus chères que les grandes surfaces, les supérettes répondent bien aux comportements de consommation nés pendant la crise et qui semblent s’être installés. «Le consommateur avisé va plus souvent en magasin, il en visite plus et dépense de petits paniers», constate l

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