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Qui sont aujourd’hui les jeunes travailleurs et travailleuses de l’art – comme ils s’autodésignent aujourd’hui ? Percutés de plein fouet par le Covid qui les a cueillis au milieu du gué, et repolitisés de fait, alors que les écoles d’art dont ils sont issus subissent depuis des années une précarisation grandissante, ils font souvent le choix de l’humour (vache et plein d’autodérision sur la condition d’artiste), de l’empathie pour les sans-voix et les objets délaissés mais aussi de l’enquête intime. Libération a choisi de s’arrêter sur six d’entre eux. Ils sont actuellement présentés au sein du 68e Salon de Montrouge, dans une édition un peu atone, qui réunit de jeunes plasticiens venus de toutes les écoles d’art – notamment les écoles territoriales qui peinent à faire entendre leur cause auprès du ministère de la Culture. Ou dans le cadre de la très réussie exposition des Félicités des Beaux-Arts de Paris – orchestrée par Anaël Pigeat et qui subit elle aussi depuis quelques mois les assauts d’une rentabilisation à marche forcée. Tour de piste d’une génération résiliente et inspirée.
Dans la Nuit la plus longue – une grande peinture à
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