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Témoignage
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Le permis, c’est 50 /50. Il y a ceux ou celles qui l’ont du premier coup et ceux ou celles qui n’y parviennent décidément pas. C’est parfois la faute à pas de chance, un coup du stress le jour de l’examen ou par manque de confiance. Dans le deuxième épisode de notre série, Julien, 25 ans, journaliste à Paris, relate le sentiment d’échec dès les premières minutes lors de sa première tentative.
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Mains qui tremblent, boule au ventre, sueurs froides… Pour un grand nombre d’automobilistes en herbe, l’examen pratique du permis de conduire est une épreuve. Surtout quand on se rende compte d’un impair éliminatoire à la cinquième minute ou qu’on manque décidément de chance. Il faut dire que les statistiques n’ont rien pour rassurer les candidats. Selon le dernier bilan pour l’année 2023, le taux de réussite du permis B, en baisse, n’excède pas les 55,9 %. A l’occasion du Mondial de l’automobile, ces fâchés du permis, qui ont parfois fini par obtenir le précieux sésame, nous racontent leurs déboires de conduite. Aujourd’hui, Julien, 25 ans, journaliste à Paris, décrit le sentiment d’échec dès les premières minutes lors de sa première tentative.
«A 17 ans, je m’inscris dans une auto-école de Saint-Nazaire pour obtenir le code de la route. Je galère, j’y passe trop d’heures et je change
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