:quality(70):focal(1893x2422:1903x2432)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/TAYSTK7HS5CJXBF7543T5IY2NI.jpg)
Un fidèle d’Emmanuel Macron, Richard Ferrand, a été nommé dans la douleur et la suspicion à la présidence de l’institution qui doit, par-dessus tout, inspirer le respect. Quel gâchis, par ces temps de défiance envers la vie politique. Jusqu’au bout Emmanuel Macron, qui s’était présenté aux Français, dans toute sa fraîcheur de jeune prodige en 2017, avec la puissante promesse de révolutionner la politique, jusqu’au bout, il aura agi à l’inverse.
Soyons justes, le jeune président a quand même renouvelé le personnel, même si, au bout de bientôt huit ans, aucune personnalité n’a émergé avec cette épaisseur d’homme ou de femme d’Etat qui les détacherait du lot. Mais c’est surtout sur la pratique, la gouvernance que la mystification a été instantanée et persistante. Il y a eu le jupitérisme, la verticalité, la concentration du pouvoir à rebours total de la promesse de responsabilisation et de mise «en marche» d’une société qui avait manifesté son envie de participer et de révolutionner la politique (il ne faut jamais oublier le titre du livre-programme du candid
Leave a Comment