:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/L3P6ECYM3FH63D3VYUQHJBP2QI.jpg)
Il suffit déjà d’un rien pour déstabiliser la frêle embarcation dans laquelle sont embringués le bloc central et la droite. Alors le congrès LR programmé mi-mai… Un député macroniste prend les jambes à son cou : «C’est leur problème, pas le nôtre. Je ne m’immisce pas.» Le camp présidentiel va toutefois scruter la compétition de ses alliés cahin-caha. Avec d’autant plus d’appréhension qu’à Renaissance, où l’on a fait des pieds des mains cet automne pour éviter une confrontation entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal, on n’est pas habitués aux guerres des chefs. Idem au Modem et à Horizons, tenus par François Bayrou et Edouard Philippe sans l’ombre d’une bisbille. Depuis l’illustre conflit Copé-Fillon pour la présidence de l’UMP, la droite, elle, a montré qu’elle a le sens du psychodrame familial.
Après s’être donné toutes les peines, depuis 2022, pour arrimer la droite à l’ex-majorité relative, les macronistes se rassurent en considérant que l’appartenance de LR à la coalition est une affaire entendue. Les deux candidats ont signé en bas du contrat, Laurent Wauquiez comme président du groupe LR à l’Assemblée nationale et, plus encore, le ministre de l’In
Leave a Comment