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La multiplicité des relations intimes qui s’offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d’un soir. Celle qui découle d’une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024, une étude de l’Ined pointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d’un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l’anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Dans notre deuxième épisode, Léa (1), 31 ans, curatrice artistique à Paris, se souvient d’un apéro avec un Italien qui venait tout juste de perdre son père.
«Il y a peut-être cinq ou six ans, je rentre chez moi un soir, et je vois un mec assis sur le trottoir. Il est en larmes. Je m’approche et lui demande si ça va. Il me raconte qu’il vient de perdre son père en Italie, dont il est originaire. Il vient tout juste de l’apprendre. Je lui réponds que je suis désolée et que moi-même, j’ai
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