Un réseau d’entreprises et d’universités françaises prêtes à recruter des femmes afghanes, par Ayyam Sureau

Un réseau d’entreprises et d’universités françaises prêtes à recruter des femmes afghanes, par Ayyam Sureau

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La situation des Afghanes aujourd’hui n’est comparable à aucune autre. Dans de nombreux pays, les femmes sont encore privées de droits élémentaires, mais les Afghanes, elles, depuis la réinstallation des talibans au pouvoir en 2021, sont soumises à une oppression non seulement inédite mais, qui plus est, légale. Par décret, elles sont privées d’enseignement après l’école primaire ; interdites d’occuper leurs emplois, même ceux qui leur étaient réservés par tradition comme celui de sage-femme ; interdites de circuler à l’extérieur de leur domicile sans la présence d’un parent mâle ; interdites de parler en public, de chanter, d’élever la voix en privé, de communiquer avec des étrangers ; interdites de se rendre au bain public alors que la plus grande majorité d’entre elles ne bénéficient pas d’eau courante ; privées d’accès aux soins médicaux et de gynécologie puisque les femmes médecins ne sont plus là… la liste des interdits s’allonge chaque mois avec des conséquences tragiques.

Dernièrement, le régime des talibans a exig

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