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La multiplicité des relations intimes qui s’offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d’un soir. Celle qui découle d’une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024, une étude de l’Ined pointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d’un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l’anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Dans notre quatrième épisode, Louis (1), 40 ans, consultant à Paris, et sa soirée American Psycho.
«A 30 ans, je me rends en Californie, dans le cadre d’une année sabbatique juste après l’obtention de mon doctorat. Cela fait un an que je suis célibataire après une relation d’une bonne dizaine d’années. Je me lance dans le dating avec des filles rencontrées là-bas. Aux Etats-Unis, si tu plais à une fille, elle ne va pas hésiter à te draguer ce qui est, selon moi, beaucoup moins le cas en France, et pl
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