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Le come-back, avec retour en grâce : bien sûr que la foule sentimentale est preneuse de cette promesse de grand huit émotionnel. Ça tombe bien, l’industrie de l’entertainment, riche en dévissages, en fourbit régulièrement. On a adoré, entre autres, Mickey Rourke qui revient, défiguré par la boxe et la chirurgie esthétique, en catcheur au bout du rouleau (The Wrestler) ; John Travolta sorti de la ringardise disco par Tarantino (Pulp Fiction) ; Robert Downey Jr. qui décroche de nouveau la timbale en Iron Man après être passé par les cases rehab et taule. Voir les autres se refaire permet de croire que tout peut être pardonné.
Cette fois, le come-back consiste en l’enterrement d’un archétype, celui de la blonde incendiaire à gros seins, par une de ses plus fameuses incarnations, Pamela Anderson. A 57 ans, la Canado-Américaine coupe résolument les ponts avec l’image de sex-symbol qui l’a inscrite dans la pop culture des années 1990-2000. L’histoire est connue : repérée par une marque de bières lors d’un match de football où les caméras de télévision se sont arrêtées sur sa jolie bouille à frange, la native de
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