«The Electric State» sur Netflix : chiant de la casse

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1994. La guerre entre les robots et les humains est terminée. Les humains ont repris le dessus sur leurs anciens androïdes à tout faire grâce à l’invention d’un magnat de la tech qui leur permet d’animer à distance des automates soldats. Dans la foulée, le magnat a pris le contrôle des esprits avec un appareil qui permet aux hommes de couper leur cerveau en deux, entre travail lucide d’un côté et distraction virtuelle de l’autre. Qui sait : ce synopsis de SF délirant d’inoriginalité donnerait peut-être, entre les mains d’un(e) cinéaste volontaire, un long métrage décent.

Mais les frères Russo, faiseurs de blockbusters au service de Disney ou Netflix, n’avaient d’yeux en adaptant The Electric State de l’illustrateur Simon Stålenhag que pour son imagerie de SF surréaliste. Bénéficiant d’un budget monstrueux de 320 millions de dollars, The Electric State n’existe de facto que pour aspirer les moindres recoins des tableaux peints à la palette graphique du Suédois, qui ont beaucoup participé à l’imaginaire d’anticipation récent grâce au succès de ses ouvrages Tales from the Loop (adapté en série) ou Labyrinth. Soit de l’exploitation, au sens le plus obscène, puérile et intégralement dénuée de fantaisie, que les Russo ne font même pas mine de dissimuler derrière un récit un tant soit peu original ou exaltant. Michelle, aff

Libération

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