Maïwène Barthélémy, glamour et dans le pré

Maïwène Barthélémy, glamour et dans le pré

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Il suffit de tendre l’oreille pour mesurer sa notoriété dans sa région. Sur les lèvres des serveurs de la brasserie où elle nous a donné rendez-vous, agglutinés autour de leurs portables pour vérification de son identité, on décèle les mots «césars», «actrice», et «Mallory Wanecque», celle que Maïwène Barthélémy a supplantée aux césars, et dont la déception filmée, juron à l’appui, a fait le tour des réseaux sociaux. Si elle a choisi ce bistrot, c’est parce qu’il est accolé au cinéma de Vesoul, où a eu lieu l’avant-première de Vingt Dieux qui a le plus compté à ses yeux, parce qu’en présence de ses proches. Pendant la séance photo, le patron du multiplex passe une tête et lance : «Bravo ! On est fier de vous.» Huit jours que Maïwène Barthélémy a été sacrée «révélation féminine de l’année», et la ferveur comtoise n’est pas redescendue. Elle égrène la «file longue comme le bras de propositions d’interviews», les selfies («l’autre fois, en allant passer une radio pour les dents»). Mi-amusée, mi-incrédule, Maïwène Barthélémy joue le jeu de bon cœur, mais s’attache à ce que «ça n’empiète pas trop sur le travail. C’est gênant de demander l’autorisation à [s]es patrons de faire venir des gens sur leur ferme».

L’image que tout le monde veut ? L’alliance jusqu’alors inédite

Libération

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