Confidences de confinement : «Régulièrement, on m’appelle en me disant : fais gaffe aux esprits !»

Confidences de confinement : «Régulièrement, on m’appelle en me disant : fais gaffe aux esprits !»

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Cinq ans après les débuts du confinement, ce fameux 17 mars 2020, entre nous, on peut se le dire, tout ne s’est pas passé comme prévu. Entre interdits bravés, fêtes interdites, jeux du chat et de la souris avec la police ou lieux atypiques pour vivre ces semaines intenses et parfois traumatisantes, ils et elles se souviennent des petites et grands histoires de ce moment à part. Dans cet épisode, nous avons retrouvé Romuald, 49 ans, qui avait déjà fait parler de lui à l’époque pour s’être confiné dans un théâtre parisien.

«La veille du confinement, on finit le montage des Fourberies de Scapin pour le Théâtre Libre. Avec mon équipe technique, nous sommes hébergés au Théâtre Antoine, dans les loges. Les deux établissements, c’est le mastodonte Jean-Marc [Dumontet, ndlr] qui les possède, ça a du sens.

«Ce même lundi, un camion de la Comédie-Française doit venir chercher le décor et les costumes signés Christian Lacroix, qui valent un paquet de sous. Toute la journée, on l’attend. Je finis par congédier mon équipe, et je me retrouve avec tout l’attirail sur les bras à mettre en sécurité, ça me prend un temps

Libération

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