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Jeux circassiens de la vivacité bondissante, de la cavale parkour où l’on s’arrache du sol pour gagner le clocher d’une église en quelques secondes pour mieux se balancer dans un tas de foin l’instant d’après, Assassin’s Creed a toujours été pris en étau entre la légèreté de ce qu’il met en jeu et le poids grossissant des enjeux commerciaux de superproductions qui pèsent sur lui. Chaque épisode mobilise des centaines d’employés pendant des années à travers une galaxie de studios. Depuis le succès surprise de son premier épisode en 2007, qui a grandement participé à façonner le géant français Ubisoft en major mondiale, Assassin’s Creed s’est transformé en hyperfranchise, comptant plus d’une douzaine d’épisodes majeurs et autant de déclinaisons plus modestes, avant d’être transposé en film hollywoodien, en anime et en manga.
La popularité de la série ne fléchit pas (200 millions d’unités vendues en cumulé) et assure au groupe un socle financier qui autorise des accidents de parcours, des revers ponctuels sans mettre en péril un empire de 18 000 salar
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