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Condamnés de toutes parts, que ce soit par les pays arabes, européens, la Turquie, la Russie et l’ONU, les bombardements israéliens massifs de ce mardi 18 mars sur Gaza, qui marquent une rupture du cessez-le-feu en vigueur depuis le 19 janvier, ont été en revanche avalisés par les Etats-Unis. «Je peux confirmer que la reprise des combats intenses s’est faite en totale coordination avec Washington», a affirmé mardi David Mencer, un porte-parole du gouvernement israélien, lors d’un point presse.
Comme le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, en pleine dérive d’autoritarisme, l’administration Trump a accusé le Hamas d’être responsable de la rupture du cessez-le-feu en bloquant les négociations et en refusant de libérer les otages israéliens. Le mouvement islamiste palestinien, de son côté, n’a eu de cesse de démentir, accusant au contraire Israël de ne pas respecter l’accord négocié pendant de longs mois par les médiateurs américains, qataris et égyptiens.
«Le Hamas doit comprendre que les règles du jeu ont changé», a affirmé mardi le ministre i
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