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Que vont devenir les 26 000 œuvres d’art public américain ? Et jusqu’où le patrimoine immobilier de l’Etat va être démantelé par le gouvernement Trump ? Attaqué comme jamais par les coupes budgétaires draconiennes du «Doge» – le «Département de l’efficacité gouvernementale» d’Elon Musk –, l’incertitude plane sur le sort de ce patrimoine artistique et architectural.
Comme le rapporte un article du Washington Post, au moins cinq bureaux régionaux de la General Service Administration – ou GSA, l’agence opérationnelle du gouvernement fédéral – ont été fermés ce mois-ci, tandis qu’une vingtaine d’employés chargés des Beaux-Arts et de la préservation du patrimoine, soudain mis à l’écart, attendent leur licenciement. Cette «optimisation des effectifs», selon le vocabulaire d’un porte-parole de la GSA, a des répercussions très concrètes. Par exemple, la peinture murale National Park Service, Tropical Country, réalisée par Gifford Beal en 1941, fait l’objet de travaux de restauration. Elle orne traditionnellement le bâtiment du ministère de l’Intérieur à Washington. Mais le restaurateur, sans nouvelles de ses commanditaires, ne sait pas s’il va être
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