Chez Pol
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Malgré leur soutien affiché au gouvernement de Michel Barnier, les parlementaires des partis censés composer une majorité se sont montrés très peu présents pour voter dans l’hémicycle sur le projet de loi de finances et le budget de la Sécurité sociale.
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«Inadmissible» et «criminelle». Voilà deux adjectifs puissants que l’on entend rarement dans la bouche du placide patron du Modem François Bayrou. Mais de quoi parlait le maire de Pau sur BFMTV dimanche 27 octobre ? Eh bien, de la désertion des troupes du «socle commun» dans l’hémicycle de l’Assemblée, constatée un peu plus chaque jour, et qui envoie un message politique que l’on qualifiera d’ambivalent. Faut-il comprendre que les débats sur le budget s’y jouent pour du beurre, et que l’essentiel se tranchera ailleurs ? Au Sénat par exemple, ou dans les négociations de coulisses avec l’exécutif, sur les amendements à réintégrer après l’usage d’un 49.3 ? Alors que démarrait lundi 28 octobre l’examen du projet de loi de financement de la Sé
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