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Chez Pol
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Suite aux révélations de «Libération» sur des violences commises sur un homme en garde à vue dans un commissariat parisien fin juillet, le sénateur communiste a écrit au préfet de police de Paris pour exiger que la lumière soit faite sur cette affaire.
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Avant-bras fracturé par un coup de matraque, coups de clé dans l’arcade sourcilière, et hématomes sur tout le corps. Voici les violences subies par un Péruvien de 42 ans lors de sa garde à vue au commissariat des Ve et VIe arrondissements de Paris, dans la nuit du 24 au 25 juillet, et que Libé a révélées le 19 septembre grâce aux vidéos issues des caméras de surveillance. Trois policiers ont comparu le 29 octobre devant la 10e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris pour violences aggravées, dénonciations calomnieuses et non-assistance à personne en danger. Entre douze et trente mois de prison avec sursis, et des interdictions temporaires ou définitives d’exercer sont requises contre les trois policiers. Le délibéré est attendu le 15&
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