Législative partielle en Isère : l’unité du Nouveau Front populaire mise à l’épreuve

Législative partielle en Isère : l’unité du Nouveau Front populaire mise à l’épreuve

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**Élections législatives partielles dans l’Isère : tensions au sein du Nouveau Front populaire**

En vue des élections législatives partielles dans la première circonscription de l’Isère, le Nouveau Front populaire (NFP) fait face à des divisions internes.

  • Premier épisode avorté : Lucie Castets, candidate éconduite du NFP à Matignon, avait envisagé de se présenter. Mais LFI, estimant que cette circonscription lui revenait selon l’accord du NFP, a exigé qu’elle siège dans son groupe à l’Assemblée nationale en cas de victoire. Castets a refusé et a finalement renoncé.
  • Candidature du PS local : Le Parti socialiste (PS) local soutient la candidature d’Amandine Germain, conseillère départementale désignée après la démission d’Hugo Prevost. Le PS prône une candidature locale plutôt qu’une candidature parachutée de Paris.
  • Réunion boudée : Les militants locaux socialistes, communistes, de Place publique et de L’Après se sont accordés sur le principe d’une candidature unique à gauche, tout en maintenant le soutien des socialistes à Amandine Germain. Les autres forces du NFP ont boycotté la réunion.

Tensions sous-jacentes

Ces divisions soulignent les tensions qui irriguent l’alliance de gauche. Le PS local estime que la circonscription devrait être renégociée avec LFI dans le cadre de l’accord électoral du NFP, tandis que LFI refuse de céder.

L’issue de ces négociations reste incertaine, mais le récit des pourparlers met en lumière les difficultés rencontrées par le NFP pour présenter un front uni.

Le Monde

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