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Mobilisations
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Attendu ce jeudi au congrès des maires de France, le Premier ministre est confronté à une accumulation des revendications qu’il essaie tant bien que mal de juguler.
Son téléphone, comme le climat social, chauffe. Contacté jeudi 14 novembre au matin par la Coordination rurale du Lot-et-Garonne, Michel Barnier a dû calmer en direct la colère du syndicat, au lendemain de l’éviction de leurs deux leaders de la préfecture d’Agen par les forces de l’ordre. «Vous avez un Premier ministre qui connaît et respecte les agriculteurs», «vous n’avez pas besoin de me convaincre de l’urgence, l’extrême urgence et du désarroi des agriculteurs», a-t-il tenté de les amadouer. C’est ensuite le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, que le chef du gouvernement a appelé alors que le premier syndicat agricole annonce de nouvelles actions la semaine prochaine. Ce jeudi, tandis que les syndicats de cheminots appellent à la grève contre le démantèlement du fret SNCF, Michel Barnier est aussi attendu de pied ferme au congrès de l’Association des maires de France à Paris. Vendredi, c’est sur la
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