Le bureau de l’Assemblée nationale a créé mercredi 20 novembre un groupe d’amitié France-Palestine.
Objectif : développer une diplomatie parlementaire en créant des liens avec les parlements étrangers.
La création du groupe avait été rejetée en mai sous la XVIe législature, la coalition présidentielle étant alors majoritaire.
Après la dissolution, le Nouveau Front populaire (NFP) est devenu majoritaire au bureau et a permis la création du groupe.
Un groupe d’étude à vocation internationale (GEVI) sur la Palestine existait déjà, mais le groupe d’amitié a une appellation différente.
Longues négociations
Le choix de la présidence du groupe France-Palestine sera scruté.
Le député MoDem Richard Ramos, président du précédent GEVI, revendique la présidence.
La France insoumise pourrait également candidater.
Autre point chaud : le groupe France-Israël.
Renaissance revendique sa présidence, mais le RN sera aussi sur les rangs.
Les groupes du NFP ont décidé de ne pas réclamer la tête de ce groupe.
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