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Interview
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Avant le match contre le Paris-SG pour la douzième journée de Ligue 1 de football, l’entraîneur espagnol revient sur sa vision du jeu et du coaching, de l’usage des données et statistiques à la gestion des individualités dans le collectif.
Trois mois après l’entraîneur de l’AJ Auxerre, Christophe Pélissier, on est allé à la rencontre d’un entraîneur de Ligue 1 avec une question en tête : où se gagne désormais un match de foot ? Et on l’a posée cette semaine au coach espagnol du Toulouse FC, Carles Martínez Novell, avant sa visite au Parc des princes ce vendredi 22 novembre pour la 12e journée de championnat. Un entraîneur jeune (43 ans), qui connaît sa première expérience de coach principal dans le Sud-Ouest depuis seize mois, après avoir travaillé au FC Barcelone et au Koweït, au sein d’un club connu pour son utilisation intensive des datas dans ses procédés de recrutement.
Novell étant rare en interview depuis son arrivée en France, on imaginait un théoricien, perché dans ces statistiques qui découpent le foot en tranches. On a vu tout le contraire. Et eu la (mauvaise) surprise, dès la première seconde de l’interview, d’entendre notre propre smartphone sonner sous son nez alors qu’il avait eu la politesse de couper le sien. On a bafouillé quelques excuses. Et attaqué l’entretien de front.
Vous faites la chasse aux portables dans le vestiaire ?
On essaye mais c’est impossible. Les joueurs ont appris à réguler leur utilisation, quand le sortir, le laisser au fond du sac… Il y a cinq ou six ans, c’é
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