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Justice
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Pro et anti-autoroute ont rendez-vous ce lundi 25 novembre devant le tribunal administratif de Toulouse qui examine plusieurs recours en annulation. Les opposants contestent les arrêtés préfectoraux d’autorisation environnementale donnés au projet au nom d’un «intérêt public majeur».
C’est l’audience la plus attendue depuis le début du conflit qui déchire le Tarn au sujet de la controversée A69. Ce lundi 25 novembre au matin, le tribunal administratif de Toulouse examine quatre recours au fond contre le projet d’autoroute. Les deux principaux, présentés par la fédération d’associations France Nature Environnement, sont des demandes d’annulation d’arrêtés préfectoraux autorisant la liaison autoroutière A69 entre Toulouse et Castres.
Tout repose sur le document technique publié le 3 mars 2023 par les préfets du Tarn et de la Haute-Garonne : l’arrêté d’autorisation environnementale du projet. Retour en arrière. En juillet 2018, le ministère de la Transition écologique déclare l’autoroute d’utilité publique. Puis, en septembre 2021, le Premier ministre de l’époque, Jean Castex, annonce l’entreprise de BTP vainqueure de l’appel d’offres : NGE rafle la mise et crée dans la foulée la société Atosca, chargée de la construction et de l’exploitation de l’autoroute. Le contrat de concession, dans lequel
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