:quality(70):focal(2731x2026:2741x2036)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/6XGP3L7LMBHUJIGPHUMRXWRXQM.jpg)
Libé des auteur·es jeunesse
Article réservé aux abonnés
Suivre au milieu de la nuit l’avancée des skippeurs, s’éprendre de leur aventure et s’imaginer sur les flots, grâce à la simulation d’un jeu vidéo : la fascination qu’exerce la mythique course de voile atteint même les profanes.
Cet article est tiré du Libé spécial auteur·es jeunesse. Pour la sixième année, Libération se met aux couleurs et textes de la jeunesse pour le Salon du livre de Montreuil qui ouvre ses portes ce mercredi 27 novembre. Retrouvez tous les articles ici.
Il y a moins de trois semaines, je ne connaissais ni Thomas Ruyant, ni Sam Goodchild, ni Violette Dorange. Je ne faisais pas la différence entre la grand-voile et un spi, situais difficilement les Açores, n’avais jamais entendu parler du pot-au-noir. Des grands périples sur la mer, je n’avais lu que le récit de Joshua Slocum, premier navigateur à accomplir le tour du monde à la voile en solitaire en 1895. Un seul mantra l’accompagne : «Souviens-toi, Seigneur, mon bateau est petit et la mer est grande», un chant breton du XIXe siècle. Breton comme Guirec Soudée, parti tenter un hivernage dans le Grand Nord avec sa poule Monique. Son aventure m’a tenue en haleine des mois durant, à dire vrai, plus pour la poule ch
Leave a Comment