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Interview
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Dans un contexte de perte de pouvoir d’achat, un sondage acte la volonté des Français de se détourner des produits non essentiels, traditionnellement prisés, au profit d’achats du quotidien.
Malgré une crise du pouvoir d’achat persistante, le Black Friday (ou vendredi noir) continue de faire son trou dans l’Hexagone. En 2023, selon une étude du cabinet Enov, 67 % des Français ont fait du shopping lors de cet événement de remises commerciales. Soit une hausse de 15 points par rapport à 2020. Ce rendez-vous traditionnel anglo-saxon tombe, cette année, le vendredi 29 novembre. Une date que certains guettent avec impatience. Un jeune (18-24 ans) sur deux a prévu d’aller dénicher des bonnes affaires à cette occasion, détaille un sondage OpinionWay pour la plateforme Bonial, guide numérique (internet et mobile) qui liste les promotions des distributeurs. A l’échelle nationale, ce sont 29 % de Français qui savent d’ores et déjà qu’ils participeront à ces promotions de fin d’année. Dans un contexte difficile, l’édition 2024 sera, pour un répondant sur cinq, l’occasion de traquer les rabais sur les produits du quotidien au détriment des articles coûteux. U
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