Les parents sans parole : « Je l’avais averti que je reprenais son téléphone, mais c’est quand même galère de ne pas pouvoir le joindre »

Les parents sans parole : « Je l’avais averti que je reprenais son téléphone, mais c’est quand même galère de ne pas pouvoir le joindre »

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Dimanche 1er décembre, le président des Etats-Unis, Joe Biden, annonçait dans un communiqué qu’il accordait une grâce à son fils.

Un pardon présidentiel de dernière minute, qui permet à Hunter, 54 ans, d’échapper aux peines attendues dans des affaires de détention illégale d’arme à feu et de fraude fiscale.

Trahissant une promesse maintes fois répétée, Joe Biden rejoint ainsi la grande confrérie des parents qui jurent qu’ils ne feront pas d’exception à part cette fois.

A quoi on les reconnaît

  • Ils sauvent la face avec une phrase définitive comme : « On en a bien discuté et il s’est engagé à… »
  • Ils sont contre le piston mais se demandent comment aider leurs enfants.
  • Ils prononcent des discours sur l’importance de réaliser les choses soi-même pour renforcer la confiance en soi mais font les devoirs de leurs petits.
  • Ils s’étaient promis de ne jamais faire entrer leurs enfants dans leur entreprise mais trouvent que, vu leurs qualités, il serait dommage de se priver de leurs compétences.
  • Ils menacent de suspendre le forfait mobile, découvrent que cela engendre des frais et changent de sanction.

Le Monde

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