Les séries de la semaine : «Culte» et «Disclaimer»

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A l’écran

A peine remis de la superbe série d’Alfonso Cuarón, «Libé» s’enthousiasme pour une mini-série qui, en regardant les coulisses de la création de «Loft Story», raconte un changement d’ère.

Pour aider nos lecteurs à s’y retrouver dans une offre culturelle foisonnante, les journalistes du service Culture de Libé déblaient le terrain et vous livrent l’essentiel de ce qui leur a plu dans l’actualité des sorties de films, d’albums, de pièces et de spectacles, de séries et de livres. Et tous les samedis, notre Top 10 de la semaine, toutes disciplines confondues. Retrouvez nos sélections

Sur Prime Video

«Culte», une mini-série fascinante sur les coulisses de «Loft Story»

La production de Matthieu Rumani et Nicolas Slomka revient sur les origines de la première télé-réalité française en 2001, préfigurant un nouvel âge du divertissement. Reléguant l’aspect trash, ses créateurs mettent en récit la polarité entre Loana et la productrice Alexia Laroche-Joubert. Lire notre critique.

Sur Apple Tv +

«Disclaimer» d’Alfonso Cuarón, un secret bien regardé

Portée par Cate Blanchett et Sacha Baron Cohen, la série d’Alfonso Cuarón est une splendeur de mise en scène. Dans la lignée de ses films Gravity et Roma, un objet singulier qui tranche radicalement avec le reste de la production. La critique enjouée est ici. Lire notre critique.

Sur Max

«Une Amie dévouée», à fleur de pipeau

La première production française de la plateforme Max revient sur l’affaire de la mythomane du Bataclan avec une réussite mitigée, entre abîmes de misère affective et formatages de thriller sociétal. Lire notre critique.

Sur Paramount +

Jean Dujardin prend le «Zorro» par les cornes

Diffusée sur Paramount +, la série de Benjamin Charbit et Noé Debré, avec l’acteur bankable dans le rôle du justicier masqué, déjoue les pronostics et se révèle délicieuse de kitsch et d’autodérision. Lire notre critique.

Sur Arte

Ceux qui rougissent» : les ados font éruption

Le format court de Julien Gaspar-Oliveri est un récit intime et bouillant sur l’adolescence s’appuyant sur la préparation d’une pièce de fin d’année. Lire notre critique.

Libération

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