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Témoignage
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Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement pour s’en remettre au «hasard». Pour «Libé», ils ou elles racontent le pourquoi de leur désaffection du dating online. Dans notre septième épisode, Sylvain (1), 50 ans, exprime son «ras-le-bol» vis-à-vis de Grindr ou Tinder.
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Par lassitude, insatisfaction ou volonté de retrouver du temps pour soi, certains adeptes de Tinder et consorts décident de s’en retirer plus ou moins provisoirement. En ligne de mire : se laisser surprendre et donner une plus grande place au hasard. Dans cet épisode, Sylvain (1), 50 ans, cadre niçois, a supprimé Grindr et Tinder, devenues pour lui «infréquentables» ou sans intérêt.
«En juin dernier, avant l’été, je décide de quitter Grindr et Tinder. Cela doit faire pas si longtemps que je m’y suis réinscrit, peut-être six ou sept mois, après ma dernière séparation. Je ne sais pas trop ce que j’y cherche, rencontrer quelqu’un ou avoir quelques contacts pour aller boire un verre. Un truc très simple, du genre “on se rencontre, on échange en vrai et on voit si on est content de tout ça” sans passer des heures à parler via un téléphone. Je suis déjà coutumier de ces applica
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