J’ai douté de Novak Djokovic, de sa blessure au genou, de sa capacité à rebondir. Mais il a prouvé le contraire en remportant Roland-Garros et les Jeux olympiques de Paris en 2024.
“Tu bluffes Martoni !”, disais-je à mes chefs. Je pensais que la blessure de Djokovic était feinte, qu’il cherchait à mystifier ses adversaires.
Mais il a tenu bon, malgré les grimaces de douleur et les interventions du physiothérapeute. Il a terminé la rencontre bondissant, irrésistible.
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