Qui peut encore s’étonner que Drake traîne Universal Music en justice ?

Partout dans le monde, on se claque les cuisses, et on se ressert une poignée de pop-corn. Drake, battu par k.o. symbolique de la surmédiatisée guerre par diss tracks interposées qui l’a opposé à Kendrick Lamar tout au long de 2024, aurait entrepris de se ridiculiser, encore une fois, par l’entremise de son avocat Michael J. Gottlieb. Un jour seulement après avoir été débouté d’une première plainte accusant Universal Music Group (UMG) et Spotify d’avoir gonflé et encouragé artificiellement les écoutes de Not Like Us de Lamar, coup de grâce dans la querelle devenue énorme hit (quinzième morceau le plus écouté de 2024 sur la plateforme suédoise avec plus de 1 milliard d’écoutes) et dont le clip fut qualifié de «victory lap» (tour de la victoire) par Pitchfork à sa sortie le 4 juillet, Aubrey Graham repart à la charge avec une nouvelle action en justice contre UMG, accusant la plus grande et plus puissante maison de disques du monde de diffamation et harcèlement à son endroit.

De quels faits le groupe, distributeur des propres albums du Canadien via le label R

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