Mon permis, ma déroute : «Ah, c’est bête ! Tu ne conduis pas si mal que ça !»

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Témoignage

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Alors que certains obtiennent leur permis du premier coup, d’autres n’y parviennent décidément pas. C’est parfois la faute à pas de chance, un coup du stress le jour de l’examen ou par manque de confiance. Dans le premier épisode de notre série, Yann, 37 ans, se souvient d’un inspecteur problématique.

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Mains qui tremblent, boule au ventre, sueurs froides… Pour un grand nombre d’automobilistes en herbe, l’examen pratique du permis de conduire est une épreuve. Surtout quand on se rende compte d’un impair éliminatoire à la cinquième minute ou qu’on manque décidément de chance. Il faut dire que les statistiques n’ont rien pour rassurer les candidats. Selon le dernier bilan pour l’année 2023, le taux de réussite du permis B, en baisse, n’excède pas les 55,9 %. A l’occasion du Mondial de l’automobile, ces fâchés du permis, qui ont parfois fini par obtenir le précieux sésame, nous racontent leurs déboires de conduite. Aujourd’hui, Yann, enseignant en banlieue parisienne, qui se souvient de son examinateur.

«Je passe mon permis à Thiais, dans le Val-de-Marne. Dès que je monte dans la Clio 3, je sens que l’inspecteur sent le beauf à plein nez. 1m60, un peu ventripotent avec un crâne un peu dégarni, mais qui essaye de camoufler comme il peut. Je fais démarrer la voiture, je fais les contrôles, tout se passe bien. Quand on croise une femme en minijupe sur la route, il ne peut pas s’empêcher de hurler :

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