Lors de chaque investiture aux États-Unis, le président sortant accorde des grâces à des proches menacés de poursuites par son successeur.
Avant de céder sa place à Donald Trump, Joe Biden a gracié des personnalités pour les protéger de “poursuites judiciaires injustifiées et politiquement motivées”.
Parmi les graciés figurent :
- Le général Milley, chef d’état-major des armées sous Trump, qui l’avait qualifié de “fasciste” et de “personne la plus dangereuse pour le pays”.
- Anthony Fauci, ancien conseiller anti-Covid de Biden, devenu une cible des complotistes.
- Des élus et fonctionnaires impliqués dans l’enquête sur l’assaut du Capitole.
- Des policiers ayant témoigné devant cette commission.
“Des serviteurs de l’État ont fait l’objet de menaces et d’intimidations pour avoir rempli leurs devoirs”, a déclaré Biden, soulignant que “certains ont même été menacés de poursuites”.
En décembre, Biden avait également gracié son fils Hunter, accusé de fraude fiscale et de détention illégale d’armes.
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