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Accompagné par son complice Charlie Dalin, Yoann Richomme a tenu à se lever tôt et à braver le froid polaire pour accueillir Sébastien Simon aux Sables-d’Olonne. Par un froid polaire, sur le tapis rouge couvert de givre, il a salué l’enfant du pays, inattendu et superbe troisième du Vendée Globe. Puis, Richomme a mis le cap sur Paris pour la tournée médiatique obligatoire des héros des tours du monde.
Retrouvailles cordiales dans un hôtel près de la tour Eiffel. Encore vêtu de sa doudoune gris argent, il sirote un grand crème. La poignée de main est chaleureuse, la paume encore rêche après 65 jours passés à tirer sur des cordages. Carrure de rugbyman, sport qu’il a un peu pratiqué dans sa jeunesse, le gaillard avoue que, même sur un lit immobile, le sommeil n’est pas encore celui du juste. Pourtant, les apparences donnent le change. Lunettes cerclées de noir et barbe taillée, il fait plus penser à un cadre sup de retour de thalasso qu’à un loup de mer usé par un tour du monde mené tambour battant, où l’ancien record d’Armel Le Cléac’h a volé en éclats.
Depuis son habitacle lumineux truffé de hublots offrant une vision à 360 degrés, calé dans son siège baquet muni d’un appuie-tête et de puissants amortisseurs de VTT, Richomme a envoyé régulièrement un billet vidéo. Il avait clairement envie de partage
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