:quality(70):focal(4377x2268:4387x2278)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/IWZ27FRD2RAEZOLWX4ESCOF3Z4.jpg)
Lui n’est pas allé graisser de son pas obséquieux les parquets de Washington DC, la semaine dernière, à l’investiture de Donald Trump. Pas plus qu’il ne s’est mitraillé dans l’un des pince-fesses de troisième catégorie où son alliée Marion Maréchal et ses concurrents Eric Zemmour et Sarah Knafo, de Reconquête, ont réussi à se faire incruster en marge des cérémonies officielles. S’il compte bien surfer sur l’enthousiasme suscité par le nouveau président des Etats-Unis dans l’opinion extrême droitière, Jordan Bardella a tenté, lundi 27 janvier, lors de ses vœux à la presse, de ne pas lui paraître inféodé. Exercice d’équilibriste. «Je n’ai pas le syndrome du petit frère et je considère que le rôle de la France n’est pas de se positionner à côté ou à l’ombre d’une grande puissance», a soutenu, d’un côté, le président du Rassemblement national (RN), défendant pour la France son «rôle de puissance d’équilibre» et «sa position de non alignée dans les rapports internationaux». Et de jeter un regard amusé sur la parade nuptiale des extrêmes droites françaises et européennes autour de Trump et de son allié. «Je ne leur cours pas derrière, à les tagguer sur Twitter pour avoir ma photo», raille
Leave a Comment