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Militaire de carrière à la tête d’un régime ultra-sécuritaire et répressif, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi n’est peut-être pas le plus délicat des chefs d’Etat. Mais il a visiblement compris qu’avec Donald Trump, la flatterie était une arme à manier sans modération. Ce samedi 1er février, les présidents égyptien et américain ont échangé par téléphone. Une discussion qui, selon le porte-parole de l’exécutif égyptien, a principalement tourné autour de la coopération bilatérale et «des crises que traverse le Moyen-Orient».
Non content de l’avoir «de nouveau félicité» pour son élection en novembre, reflet de «la grande confiance que le peuple américain a en lui et en ses capacités», Abdel Fattah al-Sissi a souligné que «la communauté internationale comptait sur la capacité du président Trump à parvenir à un accord de paix permanent et historique mettant fin au conflit qui existe dans la région depuis des décennies». Le milliardaire républica
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