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Transparence
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Officiellement lancé au printemps dernier, l’étiquetage précisant l’origine des ingrédients des produits transformés fera son apparition en novembre sur les emballages d’un grand acteur de l’agroalimentaire. Mais la filière tarde à se lancer.
Plus de cinq mois après son lancement officiel par Olivia Grégoire, l’ancienne ministre de la Consommation, le logo «Origin’Info» va enfin faire son apparition. Mais seulement sur une poignée de produits. Une dissolution et un nouveau gouvernement plus tard, c’est Laurence Garnier, secrétaire d’Etat chargée de la consommation qui est venue, à l’occasion du Salon international de l’alimentation, à Paris, donner des nouvelles de cet étiquetage. Son objectif est d’informer le consommateur sur l’origine des principales matières agricoles qui composent les plats transformés. «Le consommateur français souhaite connaître l’origine des produits qu’il achète, l’origine des matières premières agricoles. [Cela] fait partie de la nécessaire information, de la transparence qu’on donne au consommateur et qui lui permet de faire des choix vertueux pour toute la filière et sa santé à lui», a salué la secrétaire d’Etat, avant d’aller à la rencontre du groupe LDC, leader sur le marché de la volaille (Le Gaulois, Loué, Réghalal), qui s’apprête à adopter «Origin’Info».
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